Embouteillage bovin (0,66 km)
Le début de matinée est frais. Le col de la veste, remonté sur le menton, recouvre un sweat thermique à manche longue ; mes mains sont dissimulées à l’intérieur de gants confortables. Seules les parties du visage qui exposent ma peau à l’air légèrement glacial ressentent en exclusivité cette sensation de fraîcheur qui ravive les sens.
Le chemin des artistes (1,67 km)
La route commence à s’aplanir lorsque je débarque en contrebas du village. Profitant encore de l’élan de la descente, je survole le... Roule encore
Une question de temps (0,500 km)
Je ne puis prétendre m’acquitter du sacerdoce « vélo, boulot, dodo » avec une précision extrême et une régularité à toute épreuve,... Roule encore
La mécanique du corps et autres chutes de l’esprit (0,330 km)
L es statistiques de la circulation routière le démontrent aisément : c’est souvent sur les trajets les plus courts que se déroulent... Roule encore
Les maîtres de mon ciel (0,700 km)
Ce sont de curieux compagnons, de ceux qui vous font lever les yeux au ciel, non pas par dépit, mais d’admiration. À... Roule encore
Retour à la rêverie itinérante (1,32 km)
toute reprise débute donc par un solide petit déjeuner, si possible très tôt. J.+0. Dans les confins de ma mémoire, mon « come-back »... Roule encore
Cœur à l’arrêt (0,30 km)
La frénésie de mon activité de cyclo-travailleur-rêveur varie fortement, non pas selon les saisons comme on pourrait aisément l’imaginer, mais plutôt selon... Roule encore